Contexte : Une femme qui pratique l’accompagnement humain et donne des séminaires, vit seule avec sa chienne d’une dizaine d’années qu’elle adore. Comme l’animal est malade et sous traitement, sa maîtresse souhaite savoir ce qui est bon pour elle. Elle s’empêche de prendre des initiatives professionnelles qui peuvent l’éloigner plusieurs jours de la maison. Elle s’inquiète de savoir si sa chienne ne vit pas ses derniers moments de vie.
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La communication :
« Je vois bien clair et je comprends tout. Je suis une extra-lucide.
Ma maîtresse ne peut rien me cacher. Je sens sa souffrance qui me peine profondément. Elle est aveugle sur certaines choses de sa Vie. Pourquoi tant de souffrances inadaptées car elle pourrait être très heureuse mais elle ne se l’autorise pas ? Je suis là pour qu’elle comprenne qu’il est temps d’agir.
Demande lui ce qu’elle ferait si je n’étais pas là, si nous n’étions pas là. Que de liberté ! Mais ça lui fait peur. Pourtant elle est faite pour voyager, ne pas être bloquée. Elle s’empêche de vivre et d’être heureuse, voilà tout ! Je l’aime profondément. Rien ne me rendrait plus heureuse que de la voir elle-même heureuse. Je suis une « excuse ».
Si elle s’autorise ça en conscience et qu’elle me place quelque part où je sois bien et qu’elle se connecte à moi à distance tous les jours, tout ira bien.
Je suis encore vaillante. Mon heure n’est pas venue.
Il faut qu’elle agisse dans ce sens. Nous sommes trop fusionnelles. Ne laisser passer que l’énergie d’Amour, sans culpabilité. Cette culpabilité nous enchaîne tous.
Dis-lui encore que je l’adore, qu’elle m’a été d’un grand secours et j’aime tant ses mains qui me font beaucoup de bien. J’ai besoin qu’elle me masse quand elle est là, avec cette énergie d’Amour.
Je suis en pleine forme au fond, rien à voir avec les apparences : c’était nécessaire pour une prise de conscience réelle.
Elle a tout : belle et intelligente. Qu’elle demande un compagnon qui lui ressemble dans ses convictions profondes qu’elle a tant besoin de partager. »
Communication réalisée par Anne-Soline.
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